A l’ombre des jeunes filles en fleurs…

Pour un titre d’article emprunté évidemment à Proust (Je ne pouvais laisser passer l’occasion !), deux petites robes de velours pour la rentrée ; devant un empiècement plat que j’ai eu plaisir à garnir, surface vierge où laisser l’empreinte de mes doigts fleuris. Les deux sont différentes ; si je ne copie guère les autres, j’ai encore moins le goût de me reproduire !

Beaucoup de points de poste, de très nombreuses feuilles tissées (sur un point de bouclette) et un peu de tige, ainsi passèrent quelques soirées rêveuses.

Picasso préconisait : »« Fais tout avec rien, Sinon tu ne feras rien du tout » ; alors deux petites robes ont suffi pour que j’ai envie d’y semer un petit jardin ordonné, à la française…

« Le temps marche d’un pas normal;
Des roses, des roses, des roses ! « écrivait mélancoliquement,  en fin de poème, Charles Cros.

Comme il y va, Charles ! Tisser des roses de fils,  les voir éclore n’est pas si rapide, mais semer de pétales son propre chemin et celui de deux petites cousines, est juste un bonheur simple et doux. Merci à vous amies –ailées qui visitez une ruche enguirlandée de roses. A dimanche !  


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