Plissés textiles et jour de lecture

Danser, voler, chuter…………Ces mots je les ai attrapés au vol, alors chacun de mes articles commencera sur une citation à ce propos. Peut-être qu’ensuite,  je continuerai, puisque j’aime l’idée…  Avec, aujourd’hui, les mots magnifiques du poète (Baudelaire):

« Venez jusqu’au bord –nous ne pouvons pas, nous avons peur.

Venez jusqu’au bord –nous ne pouvons pas, nous allons tomber.

Venez jusqu’au bord. Et ils y sont allés ; et il les a poussés.

Et ils se sont envolés. »  

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Je poursuis  mes recherches sur les textures, les plissés; une idée, du temps, de l’improvisation et je finis ce cadre -parti au départ  pour être une carte, mais non, je le trouve ainsi à sa place; j’ai aimé ma recherche,  la façon, et le résultat, bref le/mon parcours, ma route, mon chemin…

Amies de ce blog, vous noterez une fois encore le lien entre Textes, textiles et textures. Ca reste cohérent.

                          « Quand il y a pli, il y a mystère »

                                  La phrase ci-dessus est du photographe John Stewart

Techniques: un batik violine plissé puis replié en origami dans ses extrémités, plis retenus par du coton perlé; à l’intérieur, j’ai glissé des bandes de papier lacérées dans un vieux livre, le tout posé sur un imprimé textes.

                  « Toute la vétusté presque couleur encens

                    Comme furtive d’elle et visible je sens

                   Que se dévêt PLI selon PLI la pierre veuve »

                         (Pli selon pli, hommage de Boulez, sur les textes de Mallarmé)

Je vous laisse : »Ca fait pas un pli! », mais je ne vous quitte jamais vraiment!

                        A dimanche soir!

bon premier dimanche de l’avent, Noël approche à pas de velours…


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